Synthèse de notre étude de marché

Le marché piscicole français est estimé à 260 millions €.

La pisciculture est une industrie mondiale en pleine expansion, les poissons d'élevage représentant 52 % du poisson consommé par l'homme et ce chiffre devrait atteindre 62 % d'ici à 2030.

La production mondiale de poisson, largement dominée par l'Asie et plus particulièrement par la Chine, a augmenté, notamment en termes de valeur, avec une moyenne annuelle de 8 %.

La majorité de la production asiatique se fait en eau douce, alors que l'Europe se concentre sur les espèces marines et l'Afrique sur les espèces d'eau saumâtre.

Les importations françaises de produits de la pêche et de l'aquaculture de la France dépassent largement ses exportations, ce qui se traduit par un taux de couverture de seulement 27,9 %.

Tendances  du marché français de la pisciculture

La pisciculture contribue à 11 % de la consommation française de poisson. La France compte environ 700 exploitations piscicoles qui se concentrent sur des poissons comme la truite et le bar. La pisciculture française a une production d'environ 45.000 tonnes de poissons.

Les ménages français montrent un penchant pour le saumon et le cabillaud qui représentent près de la moitié de la consommation de poisson frais du pays.

Les poissons produits par les élevages français, la truite arc-en-ciel et le bar, représentent une part faible de la consommation, avec respectivement environ 4,5 % et 3,2 %.

Les pisciculteurs français s'orientent vers des pratiques d'élevage durables et biologiques, et des méthodes alternatives comme l'aquaponie, et en sont présents sur des créneaux à forte valeur ajoutée comme la truite fumée et la production de caviar.

Les supermarchés et les hypermarchés distribuent 68 % du poisson frais et des parts encore plus importantes de produits réfrigérés et en conserve.

Le secteur est constitué d'un mélange de grands groupes et de fermes individuelles, avec des entités telles que Gloria Maris Group et Aqualande  qui se sont engagées dans la consolidation du marché.

 

Acteurs  du marché mondial de la pisciculture

  • Le groupe Gloria Maris s'est positionné comme une entité notable dans le secteur de la pisciculture. Grâce à des acquisitions stratégiques, comme le rachat de la ferme aquacole Palma d'Oro en Sardaigne en 2013, le groupe a élargi ses capacités opérationnelles et sa portée sur le marché. Il se concentre sur des espèces à forte valeur ajoutée comme l'ombrine.
  • Aqualande, leader français de la pisciculture, a été à l'avant-garde de la consolidation du secteur. En rachetant plusieurs fermes aquacoles, dont cinq au Norway Seafood Group en 2013, à Eurotrucha en 2017 et à Piszolla en 2018.
  • Les fermes aquacoles bretonnes témoignent de la spécialisation régionale en France.  Elles contribuent à l'orientation du secteur piscicole français vers des produits de haute qualité tels que le bar, qui est élevé de manière extensive le long des eaux côtières de la Bretagne.
  • Pisciculture Vasseur : Bien qu'elle ne soit pas aussi étendue que certains de ses concurrents, la pisciculture Vasseur joue un rôle important sur le marché français en fournissant des poissons d'élevage local tels que la truite. 
  • Bellet Trout illustre l'importance de la spécialisation de niche dans le secteur de la pisciculture et se concentre sur la production de truites d'eau douce
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Détail du contenu de l’étude de marché

Informations

  • Nombre de pages : ~ 40 pages
  • Format : Version digitale et PDF
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Sommaire et extraits

1 Synthèse du marché

1.1 Définition et périmètre d'étude

La pisciculture est une des branches de l’aquaculture qui désigne l’élevage de poisson en eau douce (pisciculture d’étangs), en eau saumâtre (salmoniculture) ou en eau salée (pisciculture marine). Il existe deux principaux types de pisciculture : la production en étang et la production intensive en bassin artificiel ou en cages. La pisciculture marine et nouvelle se développe principalement dans le bassin méditerranéen, dans les eaux de mer.

Plus de 500 sites de production en France sont recensés pour près de 300 entreprises commerciales. L’activité de production est concentrée dans 3 grands bassins régionaux : la Nouvelle Aquitaine, les Hauts de France et la Bretagne concentrent en effet plus des ¾ de la production nationale. La France est un grand producteur et éleveur de poissons en Europe : par exemple, la France produit près de 40 000 tonnes de truites en 2016, ce qui la place au rang de troisième producteur européen de truites élevées en eau douce.

La France est pionnière en pisciculture marine mais ne produit qu’environ 5 000 tonnes de poissons marins, contre plus d’un million de saumons en Norvège par exemple. Par ailleurs, la France est aujourd’hui l’un des premiers marchés de consommation de produits aquatiques dans l’Union européenne : le thon est la première espèce consommée, suivie par le saumon, le cabillaud, la truite et les poissons tropicaux.

 

1.2 La pisciculture : une activité dynamique dans le monde

À l’échelle mondiale, la pisciculture est une activité dynamique. Les poissons d’élevage représentent **% de la consommation humaine, une proportion qui devrait atteindre **% à l’horizon ****. [***]

La production mondiale est presque intégralement réalisée en Asie, notamment en Chine, avec **% du total en volume. Dans ces pays, ce sont principalement des carpes et du tilapia qui sont élevés puis exportés à l’international.

Source: ****

La production mondiale piscicole a progressé à un rythme très soutenu au cours des années ****, avec une croissance de la production en valeur de *% en moyenne chaque année. La croissance en volume a été moins rapide, puisqu’elle n’a progressé que de *,*% en moyenne chaque année. [***]

Source: ****

En Asie, la production est presque entièrement réalisée en eau douce et non sur les façades maritimes. À l’inverse, en Europe, ce sont principalement des espèces marines qui sont élevées. L’Afrique est, en revanche, le seul continent où l’exploitation de poissons en eau saumâtre (***) est prédominante. [***]

Source: ****

1.3 Le marché national

En France, il existe actuellement environ *** exploitations piscicole agréées zoosanitaires (***). [***]

En valeur, la pisciculture ne représentait en **** que *,*% des ventes des poissons et de crustacés, pour environ *,*% du volume vendu (***). [***]

Source: ****

Les poissons d’élevage représentent cependant **% de la consommation piscicole des Français, ce qui montre l’importance de ce secteur.

Cette importance s’est d’ailleurs renforcée au cours des deux dernières décennies, avec une baisse constante de la vente de produits issus de la pêche fraîche et congelée. De ce fait, malgré une stagnation du volume de poissons issus de la pisciculture vendu en France métropolitaine, le poids relatif de la pisciculture s’est accru.

Source: ****

Pourtant, les difficultés des exploitants français contrastent avec le dynamisme du marché mondial. Avec un secteur des produits de la pêche en plein ralentissement, les exploitants piscicoles ont aussi vu leur chiffre d’affaires diminué, celui-ci atteignant seulement ***,* millions de dollars en ****, avec une baisse annuelle moyenne de *,*% entre **** et ****. [***]

Ce marasme économique du secteur contraste aussi avec l’espoir du début des années ****, durant lesquelles de nombreux projets étaient lancés, comme celui de Gloria ...

1.4 Le commerce international de produits de la pêche et de l’aquaculture

La France n’est pas un pays autosuffisant en ce qui concerne les produits de la pêche et de l’aquaculture. Cela est dû à des habitudes de consommation qui ne correspondent pas à la capacité de production française. Ainsi, la France a importé pour plus de *,** milliard d’euros de saumon en ****, principalement parce que cette espèce se pêche uniquement dans les mers du Nord en Europe. [***]

Source: ****

La France importe pour près de * milliards d’euros de produits de la pêche et de l’aquaculture, pour des exportations de *,** milliard d’euros en ****. Le taux de couverture, qui traduit le rapport entre les exportations et les importations, est très faible, puisqu’il s’établit à seulement **,*%.

La France exporte principalement du thon, du saumon et du crevettes, espèces qui représentent environ le tiers des exportations nationales en produits de la pêche et de l’aquaculture.

Source: ****

2 Analyse de la demande

2.1 État des lieux de la consommation de poisson en France

En ****, il s’avère que les Français préfèrent consommer des produits traiteurs réfrigérés et des produits frais lorsqu’il s’agit de poissons et de crustacés. Au total, les ménages français ont acheté pour *,* milliards d’euros de poissons et des crustacés. [***]

Source: ****

Ce sont les produits frais qui ont le plus faible taux de pénétration parmi les ménages (***), alors que les produits traiteurs réfrigérés sont achetés par **% des ménages, ce qui montre que ces derniers se sont véritablement démocratisés, à l’inverse des produits surgelés, qui sont en perte de vitesse.

Seuls les produits surgelés connaissent des difficultés, avec un chiffre d’affaires en baisse parmi les ménages. Le chiffre d’affaires pour les * autres modes de consommation a d’ailleurs augmenté plus vite que les volumes vendus. Il convient de noter que la consommation de produits frais a diminué de *% entre **** et ****, alors que celle des produits traiteurs a augmenté de **%.

Source: ****

Le second secteur client important pour les professionnels de la pêche et de l’aquaculture est la restauration. Le montant des ...

2.2 La consommation de poissons frais

En France, la consommation de poisson par les ménages concerne principalement le saumon (***). À eux seuls, ces deux espèces représentent près de la moitié de la consommation de poissons frais des Français. [***]

Source: ****

Or le saumon, comme le cabillaud frais, sont des poissons qui s’adressent particulièrement aux ménages aisés et ceux de la classe moyenne supérieure, dans toutes les régions de France. Le saumon est un poisson relativement consommé par des ménages dont l’âge moyen est supérieur à ** ans, alors que le cabillaud frais s’adresse particulièrement aux ménages d’un âge moyen compris entre ** et ** ans.

Source: ****

Source: ****

Les poissons produits par les exploitations piscicoles françaises (***) ne correspondent pas aux poissons consommés par les Français. Ces derniers ne représentent respectivement que *,*% et *,*% de notre consommation de poissons frais.

2.3 La consommation de poissons transformés

Entre **** et ****, les ventes de poissons transformés (***) a augmenté de *,*% en valeur, en moyenne, chaque année. L’évolution des prix a permis au secteur de croître en valeur plus vite qu'en volumes vendus. [***]

Cependant, les ventes de poissons surgelés ont fortement diminué, notamment à cause d’une baisse des ventes en volume, supérieur à *% chaque année en moyenne.

Source: ****

Les poissons transformés les plus consommés sont le saumon et le thon fumés (***).

Le saumon fumé est principalement consommé par les ménages aisés et de la classe moyenne supérieure. Géographiquement, il est consommé de manière plus importante dans le Nord et l’Est de la France.

Source: ****

À l’inverse, les conserves de thon sont principalement consommées par des ménages modestes, dans le Nord et l’Ouest de la France.

Source: ****

Le niveau de revenu des ménages n’est pas un critère déterminant pour la consommation de conserve de maquereau ou de sardine. Ces dernières sont avant tout consommées dans le Sud de la France.

Source: ****

Les conserves de Maquereau sont quant à elles surtout consommées dans l’Ouest de la France.

Source: ****

3 Structure du marché

3.1 Consolidation et internationalisation

Alors que la pisciculture représentait un véritable espoir pour le secteur de la pêche et de l’aquaculture, une alternative à la pêche traditionnelle, l’activité n’a pas réellement progressé au cours des dernières années. Certains avancent les difficultés d’exploitations (***), d’autres le manque de soutien de la part de l’État, qui aurait permis le développement de cette activité dans d’autres pays, comme en Croatie et en Grèce. [***]

Le premier mouvement du secteur est porté par les difficultés de nombreux exploitants, qui ont du mal à trouver des financements. Cela provoque une consolidation du secteur, qui tente de mutualiser ses ressources. Dans le cas d’Aqualande, un des leaders français du secteur, plusieurs acquisitions ont été réalisées :

Rachat de * piscicultures au groupe Norway Seafood (***) Acquisition d’Eurotrucha (***) Acquisition de Piszolla (***)

L’autre mouvement est celui de l’internationalisation. Les acquisitions de Piszolla et d’Eurotrucha par Aqualande ont été réalisées en Espagne, autre pays dans lequel les difficultés des pisciculteurs sont palpables. Gloria Maris s’est aussi emparé de la pisciculture Palma d’Oro en Sardaigne en ****. [***]

Les Espagnols consomment beaucoup de ...

3.2 Fonctionnement d’une exploitation piscicole

Les exploitations piscicoles font partie d’un système d’acteurs assez important. Se fournissant en alevins et en matériel auprès de fournisseurs, il y a généralement plusieurs intermédiaires entre les exploitations et les consommateurs finaux (***).

Source: ****

Il existe une différence importante entre les pisciculteurs et les pêcheurs traditionnels : leur place dans la chaîne de valeur. Alors que les pêcheurs sont obligés de passer par la criée avant que leur production soit vendue à des grossistes, les pisciculteurs peuvent la vendre directement aux grossistes, ce qui permet d’économiser des frais d’intermédiation. [***]

3.3 Le mode de production traditionnel

Les poissons élevés dans les exploitations piscicoles sont généralement issus de cultures d’alevins, ensuite livrés à l’exploitation. La principale préoccupation des pisciculteurs est d’élever leurs poissons dans de bonnes conditions, c’est-à-dire :

Assurer la qualité du milieu de vie des poissons Protéger son exploitation contre les événements extérieurs (***) Alimentation saine, d’origine animale et végétale, respectueuse de l’environnement

Source: ****

Aujourd’hui la production se concentre principalement sur la truite arc-en-ciel, poisson relativement facile à élever puisqu’il croît rapidement et s’habitue facilement à de nombreux environnements. Ainsi la truite arc-en-ciel est exploitée aussi bien en France, qu’en Norvège et qu’en Afrique du Sud. [***]

Les revenus générés par la truite arc-en-ciel lors de la vente aux grossistes sont cependant faibles. Le bar européen et la dorade royale, cultivés tous deux exclusivement en mer Méditerranée, rapportent plus que les autres poissons exploités en France, respectivement *,* $/kg et *,* $/kg. [***]

Source: ****

3.4 Nouveaux modes de production

De nouveaux modes de production sont apparus en France suite aux difficultés du secteur. Les exploitants français ont pris la décision de développer une pisciculture durable, se différenciant de leurs concurrents chinois, dénoncés pour les conditions d’élevage des tilapias. Cela signifie que certains exploitants français disposent de fermes labellisées Label Rouge ou AB (***). [***]

La composition des aliments a aussi fortement évolué puisque de nombreux reproches ont été faits au secteur concernant son utilisation de stocks halieutiques non consommés par l’homme. Aujourd’hui, les huiles et farines de poisson représentent **% de la composition de l’alimentation pour **% de farines végétales.

Un autre procédé qui semble intéresser le secteur est celui de l’eau recirculée, qui consiste à filtre l’eau des bassins afin de la réutiliser. Le filtrage permet de retirer les excréments, et des bactéries transforment ensuite l’ammoniac en azote. Ce procédé permet d’utiliser ** fois moins d’eau pour la quantité de poisson produite.

Enfin, le développement des fermes aquaponiques représente une voie de développement, surtout pour de nouvelles entreprises comme AMP / Saumon de France. ...

3.5 La distribution de poisson se fait principalement en GMS

La distribution de poissons frais et transformés se fait principalement en GMS (***) :

**% du poisson frais **% des produits traiteurs réfrigérés **% des produits en conserves

Les grossistes et les centrales d’achats agissent de ce fait comme des intermédiaires importants entre les pisciculteurs et les consommateurs finaux, que le secteur doit prendre en compte. [***]

Source: ****

4 Analyse de l'offre

4.1 La production piscicole concerne un nombre limité de poissons

L’élevage de poissons n’est pas destiné uniquement à la consommation alimentaire. La production piscicole peut aussi être utilisée à des fins de repeuplement par exemple. La représentation ci-dessous représente la répartition des ventes de poissons issus de la pisciculture dans les Hauts de France.

Source: ****

Pour ce qui est de la vente aux grossistes, qui représente la plus grande partie du chiffre d’affaires des pisciculteurs, celle-ci concerne avant tout les poissons produits en France, notamment la truite, la carpe et le bar.

Il y a aussi une tentative de développer des élevages à plus forte valeur ajoutée, comme la truite fumée, transformée directement par les pisciculteurs, et le caviar (***). [***]

Le taux de pénétration de la truite fumée ayant augmenté parmi les ménages français (***) permet au secteur d’envisager un meilleur horizon économique.

4.2 Des prix qui augmentent rapidement

Le poisson est une denrée relativement onéreuse, du fait de la difficulté à l’élever et à le pêcher mais aussi du fait des investissements importants nécessaires pour le transporter et le conserver. En moyenne, les prix de distribution sont plus élevés dans les poissonneries et sur les marchés que dans les GMS. [***]

En ****, les prix moyens constatés sont compris entre ** €/kg et ** €/kg environ, des différences qui s’expliquent par la différence d’espèce et le niveau de transformation (***).

Source: ****

Par rapport à leur niveau de ****, les prix en février **** des poissons et fruits de mer ont progressé, en moyenne, de **%. Cette augmentation est continue, malgré de légères hausses conjoncturelles en janvier en août chaque année. [***]

Source: ****

5 Règlementation

5.1 Les règles pour créer ou reprendre une exploitation

Les pisciculteurs souhaitant créer leur propre exploitation doivent respecter un certain nombre de règles et demander de nombreuses autorisations administratives. [***]

Selon le niveau de production prévu, les autorisations à demander ne sont cependant pas les mêmes :

Pour une production inférieure à ** tonnes / an, l’exploitation doit faire l’objet d’une déclaration au titre de la « loi sur l’eau ». [***] Pour une production supérieure à ** tonnes / an, l’exploitation doit recevoir une autorisation au titre de l’ICPE (***). [***]

Un dossier doit être constitué, contenant notamment une lettre de déclaration ou d’autorisation, une note explicative (***). [***]

Dans le cas d’exploitations en eau douce, de nombreuses règles existent, notamment l’obligation pour celles-ci de se trouver à au moins *** mètres des habitations (***). [***]

Outre les règles sur la localisation, l’aménagement et l’exploitation, il en existe aussi d’autres sur l’autosurveillance, la remise en état et la réhabilitation.

Dans le cas d’exploitations de l’aquaculture marine, il est nécessaire de recevoir des concessions d’exploitation, qui ne peuvent excéder ** ans, de la part du directeur départemental ou interdépartemental des affaires maritimes. Selon le coût, la localisation ...

5.2 Des règles sanitaires très strictes

La mise sur le marché de poissons issus de la pisciculture est soumise à l’obtention de l’agrément zoosanitaire. Il est requis pour les fermes aquacoles et les établissements de transformation abattant des animaux issus de l’aquaculture, et donc de la pisciculture. [***]

Afin de bénéficier de l’enregistrement au registre des exploitations respectant les obligations zoosanitaires, il est nécessaire pour les exploitants de fournir :

Des éléments descriptifs Des éléments décrivant les mesures prises pour contrôler les risques zoosanitaires Un extrait de registre d’élevage relatif aux entrées et sorties de poissons et à l’enregistrement de la mortalité Un document présentant un plan de surveillance des risques zoosanitaires Un engagement à respecter les bonnes pratiques d’exploitation

6 Positionnement des acteurs

6.1 Segmentation des acteurs

  • Gloria Maris Groupe
  • Aqualande
  • Piscicultures de Bretagne
  • Pisciculture Vasseur
  • Truites Bellet

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